lundi 31 août 2009

[ 30/08/2009 01:10 ] Maelochxz : Pyrophore (1)



Cela faisait des jours désormais que les vents rapportaient le cri incessant des concessions qui se distordent sous la puissance ésotérique. D’infimes particules radioactives dansaient au grès du martellement sourd des frappes nucléaires.
Plutonium, Uranium, Hydrogène.
Ainsi était la Pourpre : sauvage dans sa nature, sauvage dans son humanité.

Il était parfois vain de comprendre le fondement d’un conflit. Chacun se raccrochait à l’espoir, aux siens, et refusait d’avancer plus loin sur la toile inextricable tissée par l’Arachnide de l’entendement ou des possibles.

Le nomade était silencieux, assis en tailleur dans le garage d’un bunker abandonné, noyé dans l’obscurité. Une bougie à la flamme chancelante menaçait timidement les ténèbres, redessinant les contours d’une réalité bien plus inquiétante sur les parois métalliques de la grande pièce.

Son regard vert jade était à peine perceptible, perdu dans les reflets cuivrés du Masque.
Pourtant sans vaciller il scrutait la flamme dans la moindre de ses voltefaces.
Les récents évènements le poussaient à réfléchir à nouveau sur la localisation du Pyrophore.
Il fallait le retrouver car certaines factions en avaient fait leurs priorités, animées par le désir de le détruire…

Il cherchait l’inspiration dans l’essence même de la combustion, au cœur de cette flamme. Il y retrouvait la puissance du feu incréé : la Forge, le Mont Rouge… Fallait-il chercher le volcan primordial en ces landes gelées ?
Il percevait aussi la force du rayon Colossus… le vrai rayon vous guidera…
Dmz #199728, Zone Frederikbuhn, Dmz #154458… pourquoi ces zones ? Un instant la flamme de la bougie va pour s’éteindre puis se ravive aidé d’un léger courant d’air. Les braises !
Si des hommes font des caches depuis le désert dans les zones ils seront peut-être le liant par lequel le feu se nourrit… Cela ne résout pas le problème de la spontanéité, un pyrophore s’embrase sans être induit, mais c’est toujours une voie à explorer…

La quiétude et la réflexion furent alors entrecoupées d’un brouhaha ténu provoqué par des ustensiles de cuisine.
D’une expiration lente et ciblée il mit fin à l’agonie de la petite flammèche. Les ténèbres l’enveloppèrent alors : elles avaient gagnées cette première passe d’arme.

Il était temps d’aller honorer une autre flamme. Et question spontanéité cette fois-ci il ne serait pas déçu…

jeudi 13 août 2009

[ 13/08/2009 23:54 ] Elanore : Tem2021

Elanore

*Elle entre et plante un papier sur le panneau d’affichage, elle a l’air furieux. Il y a des choses qui vous passent mal au travers de la gorge. *

Alors qu’en tout point, la paix semble compromise
Que l’emportement n’est que l’apanage des sots
Que le danger menace au loin la terre promise
Je vais vous conter l’histoire d’un vain héros.

Il vient à moi, forçant ma porte
Ce qu’il eut fait déjà, et par trois fois
Je ne m’offusque plus qu’il y vienne de la sorte
Il me parle d’hier, non sans émoi

Sans méfiance, je lui tends un siège
Les circonstances, ne sont pas les bonnes
Mais, Je souris et entre dans le manège
Dans le calme, j’écoute ce qui l’aflictionne

Déjà vient à moi quelques embarras
Le bougre voit qu’il se trompe de voie.
Mais par amitié, me viennent deux choix.
Que je vais vous exposé, ici et là.

Le premier, N’était que bonne volonté.
Il ôtait cette armure qui l’afflige,
Il aurait été pour le mieux, lavé
Affranchi de traitrise jusqu’aux vestiges

Car il était déjà suspect, malheur
Il n’avait pas le signe adéquat
Rien que du vent pour prouver son honneur
Mais amicale, je clos le débat

La deuxième le laissait en état,
Il en restait là, à pleurer sur son sort
Que le malheur le mène à trépas,
Ce n’était plus de mon ressort.

C’est ainsi que rasséréné soudainement
Droit comme un i, et fort sûr de lui
Il me fit part d’un troisièmement
Pensant sans doute que je fusse endormie …

Lui pauvre âme errante, était si fort
Tant pour lui que pour ses pauvres alliés
Il était si haut placé, que j’aurais tord
De ne pas au 37 l’introniser.

Mais bien sur, dis-je au pauvre moine noir
Avec quelques cerises, et de la chantilly en prime ?
Gardes donc ta couleur affligeante de désespoir
Te voir ainsi, Hermétique, me déprime.

Ta fatuité, et ton incompétence m’oppresse.
Dans les deux cas, les traitres, me dégoûte
T’en voilà réduit à profiter d’une ancienne tendresse
Ou d’une culpabilité, aujourd’hui mise en déroute ?

Je n’attendrai pas de réponse, car je le sort de chez moi, J’ai assez à faire, que d’ainsi badiner avec ce genre de personne, J’aurai pu, par amitié ou par pitié le passer sous silence.
Mais l’on pardonnera, sans doute, à mon caractère emporté ces quelques vers. Au moins les choses sont claires.

*Ensuite elle se dirige vers le bar, salue Gros robot et l'une ou l'autre de ses connaissance... *

-« Les hommes de paille ont des poutres dans les yeux.


Bella

*salue la beauté des rimes*


Gulliver

*reniflant l'écume d'une bière mal tirée en conversant en sens unique avec le géant gris, le vieil ivrogne à cette heure-ci soûlard et ratatiné, délassa le godet pour se fixer sur le panneau des affiches, e après qu'un voisin lettré lu ait rapporté ce qu'il y avait de manuscrité... Il pinça d'la barbiche à en décrypter les vers... ouloulou tordax le spleen en cracheflammes tonight. *

" L'est d'mauvais poil qu'on dirait la patronne... " *Chuchota t-il au dit voisin à qui il venait de payer une rasade pour la lecture du papelard.*

Par précaution, il salua discrètement la bleutée et se remit à compter les bulles de sa chopine...*


Dedosien

_" Les hommes dont les femmes s'empressent de vouloir se servir.


car c'est par la douleur d'un chagrin infini qu'il décida de se fermer au monde et se recroquviller dans l'Hermétisme.


37 vient et va parlant tel un pion de Mmemo incapble de la moindre conninvence il s'en va vendre sa flamme au bucher de la discorde et de l'Afllcition.





Seulement un Hermétique comme peu le savent ne reviennent pas du choix qu'ils ont fait...


Inféodés et abandonnés pour leur choix ils font la quete d'une certaine noirceur. De al pomme de la discorde jeté dans le champ, Eve partit en accusant et pointant. Depuis le paradis fut empreint des secousses terribles jusqu'au jour ou Jéricho en ressentira la blessure et la vengeance.


La pomme se transforma en pitié mais aussi en un fruit plus inssidueux et pourrissant.

Le faux espoir fut consumé et laissé pourissant et gangrénant.


Couvant la chose depuis un long moment seulement la trahison n'est pas paru inaperçu car la base était pervertie et malhonnete... La soudure fut certes mais une soudure longue et couteuse... car imparfaite et incertaine.... laissant un flux de vie sans fin s'en déverser....

Voilà le pourquoi d'une trahison d'un Adam, aveuglé d'une Eve qui fit une belle manipulation...

Tem est depuis long dans la chambre du murmures sous le joug inquisiteur et procédurié de ses frères qui jugeront de la peine terrible ou de la repentance déchirante à donner.....

Stilgar

*Stilgar lu avec attention le message laissé à l'instant par Elanore. Connaissant cette humeur sur son visage, elle n'osa l'aborder et resta elle aussi perdu dans ces pensées.

Quelle belle prose pensa-t-elle.

Cela ne m'intéresse pas plus que ça de savoir qui sont ces moines qui l'ont importunés parce que je sais que la belle savait se défendre et qu'au besoin elle serait prévenir la tribu nomade.

Cela fait déjà plusieur moins que le maître de la coulée a fustigé le condition d'hermétique. Pour reprendre ces paroles :
"Sombres pantins sans vie, ils errent dans des douleurs hermétiques"
"Tu n'es pas responsable des erreurs passées des moines noirs"

"Blessés dans leur chair ils se mutilent avec passion dans des scaphandres sans oxygène"

Le message était pourtant claire... alors pourquoi avoir tant attendu. La forge doit nous apporter la connaissance, j'espère qu'elle nous apportera la compréhension de leur choix et la force de leur pardonner et de les acceuillir dans notre famille.

Mais la rédemption n'est pas chose aisée à obtenir et faire preuve de sa bonne foie demande beaucoup d'effort. Attention pas de sacrifices, juste de la clairvoyance et de la compassion pour tout ces terraformeurs qui ignorent encore le danger malheureux qui les guettent.

Stilgar perdue dans ces réflexions, s'en remis encore une fois au chant des dunes. Attentive à la trace à suivre pour que le sable libère ces secrets. "

Oubecket

Il me semblait pourtant que depuis longtemps,
Cette histoire était réglé,

J'ai vu et vu encore défiler dans mes songes
Ces images d'inachevé,

Mais néanmoins, je n'ai jamais rien dit,
Laissé coulé, malgré mon mal gré,

Mais aujourd'hui, même si la dame m'a ignoré,
Je ne peux que soutenir cette idée.

Un moine, oui, obstiné, ok,
Mais nul raison d'insisté,

Ce qui est fait est fait,
Ce qui est dit est dit,
Et ce qui doit être sera,
Il faut accepter,

*Un clin d'oeil vers la demoiselle en finissant sa dernière phrase*

Elanore

-"Oh. Surprenant. Une chose me brûle les lèvres. Vraiment. Je t'avais prévenu. Pire, je t'ai presque supplié de ne pas le souder. Je savais pour quelle raison il le faisait, mais tu avais trouver bon de le faire quand même. Tu le savais.

7 jours. De réflexion, tu te prends pour Dieu ?

*La bleue monte dans les tours. la main bien a plat contre le comptoir*

-"Drôle de punition pour ce qui n'est qu'un chagrin d'amour. Une vie de souffrance. Ainsi, je manipule. De la haut je tire bien des ficelles, n'est ce pas. Dans mon jardin d'Eden, les serpents dansent. Follement alanguis les uns contre les autres.

*Sourit, amère*

-"En vraitu tiens là une chose qui t'as échappée, hors contrôle. Voilà la vérité.

*Elle sourit à ses amis, remercie le cowboy d'un hochement de tête*

-"Et a nouveau l'ignoble sentiment me vient. Tem, si tu veux être sauvé, on trouveras un moyen.

Coupe la corde.

Dedosien

_" La corde coupée et ce ne sera pas toi.

car tu contines encore tes manoeuvres que Tem ne put me cacher.

Ne t'inquiètes pas pour sa délivrance, il allait l'avoir, nous avions ce moyen depuis longtemps en réserve.


Sauf qu'en continuant ainsi il ne sera ps le seul à etre libéré par ce moyen.

Alors la Bleue , ne vient pas évéillé ce qui cherche depuis quelques jours à s'endormir et s'apaiser car tes querelles que tu attises à nouveau ce soir emplisse l'Ordre d'un sentiment mitigé.



Tu me traites de Dieu, mais regardes-toi , toi qui preches un sombre inconnu dont tu ne mesures pas le danger. Tu veux sauver Tem?


La porte de Martellus t'es ouverte et dès ce soir, on va voir si ta foi est assez forte pour contenir le tremblement qui se prépare. "

Oubecket

Là tu y va fort la miss...

Même je sais ce qui te ronge, et que je connais ton franc parler, je ne saurais laisser insulter mon ami de la sorte.

Oui, je ne connais pas toutes les ficelles de cette histoire. Oui, je n'ai pas mon mot à dire dans cette histoire. Mais je suis là, et j'entends, et ces mots heurtent mon esprits comme ma vieille pelle contre le sol martien : dur, avec pas grand chose à en sortir...

Tout le monde à ces tords, je crois, et il n'ai pas bon de blamer untel ou untel pour des erreurs du passé, ou sinon, blame la firme de nous avoir emmené ici, ou blame toi toi-même pour avoir choisit d'y venir.

N'y voyait aucune parole blessante, ni à l'un, ni à l'autre, mais vous êtes tous deux mes amis, et je n'aime pas vous voir ainsi vous déchirer pour une chose si futile, qui se perdra dans l'histoire de Mars...

Dedosien

_" Oub ce soir là , j'ai été accusé d'une chose...


depusi j'ai laissé dire.

Je me suis tut pour qu'elle prenne son envol mais là il ne faut pas pousser


la porte de Martellus est ouverte 24 heures, elle vient cela s'arrengera sinon elle aura décider comme la teneur de son discours prime de la teneur du futur."


*quitte le bar.*

Maelochxz


* Regarde la scène sans mot dire, se demandant pourquoi tout le monde prenait la parole sauf le principal intéressé.
Enfin, il n'était pas heure à chatouiller sa douce, il se contenta de commander un thé mentha.
Va falloir penser à changer le code du lounge pensa-t-il, ça évitera encore au Blackmonk de se la pointer, d'avancer certaines choses et de raconter ensuite tout et son contraire, comme toujours. *

" GR, tu as une touillette ?

Dunwich

_"Ping pong avec l'âme d'un homme."

Oubecket

Dun

Court et efficace. Merci à toi

Elanore

-"Il est venu vers moi. Et non pas la contraire. Comme à son habitude, il n'as pas attendu que je lui ouvre. Il est venu plein de doute.

*soupire*

-"Que veux tu donc que je fasse encore en ces murs, semer querelle et discorde, hum ? J'ai encore quelques pommes à tendre sans doute...

*Elle fronce les yeux, observant, comme une habitude le sombre dos qui s'éloigne*

-"Bien. Une heure.

*Elle l'as vu, lui lâche une grimace qui voulait dire, j'm'en sortirai*

Dunwich

_"Oubecket... Ces tensions me lassent"

Oubecket

Rien à ajouter. Bonne nuit à tous. Que cette nuit vous porte conseil...

lundi 3 août 2009

[ 03/08/2009 19:00 ] CAMDRONE CC




"TOI ! Je te vois"
"Mon fils, tu portes le masque du Colossus 37"


"Tu cours après folies et chimères et tu t'égares"
"Les horreurs cérébrales d'hommes perdus deviennent tes traverses abyssales"
"Nous sommes ta famille et le masque te fera voir clair"

"Descend de ton véhicule homer et cherche ce que tu désires, le masque te revelera les sables"
"Reviens chez toi ensuite, ne pars pas dans ces limbes, retourne a la maison mon fils"